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Test Logiciel

Comment envoyer son projet RPG Maker sur Steam ?

Un petit tutoriel rapide pour ceux qui aimeraient mettre leur jeux RM sur Steam.

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Steam – Mes 10 incontournables

Un top 10 est définitivement nettement moins pénible à faire, que 10 tests pseudo-orientés où il faut meubler un minimum sans trop spoiler. Après les jeux DS et les eBooks, voici une autre tentative de ma part de partager mes coups de coeur du monde de l’immatériel. Je me penche cette fois-ci sur l’ordinateur, et son fer de lance qui, à lui seul, a sauvé le jeu vidéo PC : Steam.

Mais plutôt que de mettre en lumière des titres déjà connus (The Walking Dead, Limbo ou Bastion pour ne citer que les plus évidents), je préfère réaliser une liste de titres plus confidentiels. Ou en tout cas, pas assez célèbres selon mon point de vue.

Voici donc mes 10 jeux vidéo incontournables-sauf-les-grands-classiques-que-tout-le-monde-connait sur Steam, sans ordre de préférence.

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Magix Video Deluxe 16 Premium

 
Les + :
– Le rapport qualité/prix
– Les fonctions avancées comme le key animator (animation par image clé)
– Les courbes de Béziers pour l’animation par image-clé, enfin !
– Le tout-en-un (capture, edition, création DVD)
– Le nombre de pistes de mixage (99 ! )
– Le logiciel en bonus, si vous n’en avez pas d’équivalent (création d’itinéraires, retouche photo, jacquettes CD).
– La prise en charge des plugins VirtualDub, rajoutant encore de nouveux effets, et quelques effets Adorage
 
Les – :
– Les bugs avec certains formats (huffyuv), certaines fonctions (transition entre deux masques alpha)
– Les formats à débloquer en ligne, certains gratuitement, d’autres non
– La nouvelle présentation des effets avancés, déroutante pour les habitués des versions précédentes
– Les effets pré-rendus, oscillant entre le très bien et le très moche.
– Les fonctions Authoring, toujours pas au top.
– Les effets vidéos très dépendants du matériel (carte graphique pourrie = effets pourris).
– La configuration musclée pour les montages complexes.
– L’absence de fonctions vitales (floutage des bords lors de l’utilisation de la chrominance).
– Les fonctions d’export à payer en plus (même si vous avez déjà le codec tiers officiel).
– Les effets Adorage Pack 1, en doublons pour 90% d’entre eux, pas évident du tout à utiliser
– Les logiciels en bonus, inutiles comparé à ce qui existe en gratuit ou au sein même de Video Deluxe
– Les bugs, moins nombreux quand même que dans la version 15
 
 
Description
Magix Video Deluxe, aussi appelé Movie Edit Pro, est un logiciel de montage vidéo.
Il se destine à la manipulation de fichiers média (image, audio et vidéo) et la création de films.
Vous en avez marre de Windows Movie Maker et de ses plantages ?

Anime Studio 5.5

  

Lien vers Anime Studio 5.5

Les + :
– Un vrai outil d’animation 2D pour pas cher
– Les outils de squelette, de boucle et les formes vectorielles


Les – :
– L’export limité à 3 minutes de vidéo
– L’exportation en flash buggée
– Les fonctions les plus intéressantes réservées à la version pro
– La mauvaise gestion des codecs vidéos en import (soit ça plante, soit ça rame).
– La lourdeur de l’interface pour manipuler plus d’une vingtaine d’objets (pas de sélection multiple, fenêtres trop petites)

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Media Subtitler – Mon avis à moi

 
 
Les "+" :
– Un logiciel de sous-titrages visuel
– Permet la conversion d’un format de sous-titres à un autre
 
Les "-" :
– Quelques bugs horripilants
– Pas toujours ergonomique à utiliser
 
 
Des sous-titres ! Pour faire quoi ?
Ben pour comprendre les dialogues des vidéos en version originale, pardi !
Pour un usager lambda d’Internet, habitué au doublage systématique de nos émissions télés, regarder une vost (version originale sous-titrée) peut sembler rébarbatif.
Mais pour un geek/nerd/otaku comme moi, c’est le summum du plaisir visuel et auditif.
Pensez donc : pas de censure, des dialogues avec leur sens d’origine et des personnages avec leurs vraies voix.
Ceux qui ont connu la vague de censure de 1990 à aujourd’hui concernant les animes (et les jeux vidéos ! ), savent que le sous-titre est obligatoire pour profiter au mieux de ses vidéos préférées.
Deuxième avantage des sous-titres : n’importe qui parlant la langue d’origine peut traduire la vidéo en quelques heures/jours. Et le mettre à disposition du plus grand nombre via Internet.
Un bon moyen d’avoir rapidement et facilement une série encore inconnue dans nos vertes contrées.
 
 
Alors pourquoi se prendre la tête à le faire si les autres le font ?
Parce qu’on n’est jamais mieux servi que par soi même … et que pouvoir créer ses propres sous-titres, notamment pour des productions personnelles peut avoir son intérêt. Rajouter des commentaires écrits sur ses vidéos de vacances ou de travail représente un intérêt certain.
D’autant plus que VLC et MPC, deux lecteurs multimédias gratuits, chargent plus ou moins automatiquement ces fichiers de sous-titres lorsque vous regardez la vidéo correspondante. Avoir les avantages du DVD, sans le DVD, c’est la classe !
Vous pouvez ainsi créer autant de fichiers de sous-titres que de commentaires/traductions possibles. Un seul fichier vidéo et quelques fichiers texte au lieu de plusieurs fichiers vidéos. En plus du gain de place, vous ne touchez pas à la vidéo. Vous conservez votre vidéo originale, contrairement à une incrustation de commentaires qui  altère définitivement l’image …
 
 
Ca reste un truc de Geek ! C’est quoi la révolution ?
Les logiciels de sous-titrages étaient soit payants, soit textuels. Le minutage se faisait à la main, en chronométrant en aveugle les temps d’apparition/disparition de chaque sous-titre. C’était long, lourd et imprécis.
Media Subtitler permet le sous titrage visuel. On lance la vidéo, et on appuie sur un bouton pour faire apparaitre le sous-titre. On le relache ensuite pour le faire disparaitre. On sous-titre ainsi un film entier en quasi-temps réel, maintenant et relachant la souris au rythme des dialogues.
On peut aussi modifier les sous-titres séparément, ou décaler automatiquement l’ensemble de x milli-secondes.
Son seul défaut est un bug sous WMP9 (Win2000) qui le fait planter si on veut avancer dans la vidéo. Il faut donc passer le mode manuel (raccourci clavier) ou le double-clic sur le sous-titre suivant pendant la lecture. Ce problème est absent avec WMP10 (WinXP).
Il demande de toute manière une certaine prise en main pour synchroniser les sous-titres avec les dialogues, mais une fois maitrisé, on se voit capable de réussir des sous-titres comme les pros !
 
Je m’en suis servi pour des sous-titres en français pour le fanfilm "Star Wars Revelations", version wmv, disponible gratuitement sur le site http://www.panicstruckpro.com.
 
Déposez le fichier ssa dans le même dossier que le fichier wmv, utilisez Media Player Classic pour le lire automatiquement. VLC aura besoin que vous lui indiquiez explicitement le fichier à utiliser ("Ouvrir un fichier" et "subtitle options" ).

Media Coder 1.90 – Mon avis à moi

 
Les "+" :
– Plein de formats en entrée
– Plein de formats en sortie
– Plein de réglages possibles
– Libre et gratuit
 
Les "-" :
– Faut s’y connaitre un peu en encodage pour comprendre toutes les options
– Messages d’erreur pas très explicites
 
 
 
La joie des formats
Nous avons tous eu cette idée folle, non pas d’inventer l’école, mais de convertir un fichier multimédia vers un autre.
Et oui ! Entre les mkv, les flac, les ape, les mov et autres wmv, c’est souvent la croix et la bannière pour pouvoir lire sa vidéo/musique dans les conditions optimales.
On se retrouve souvent à télécharger quantité de codecs pour pouvoir tout lire, jusqu’au moment où ils finissent par se bugger mutuellement.
 
 
Le plaisir de convertir
Autre solution, convertir le-dit fichier dans le format que l’on veut (avi ou mp3 donc).
Là aussi, on a droit à une offre pléthorique, dont pas mal en version payante, et plus encore en gratuit. Mais tous ne gérant que quelques formats parmi la bonne centaine qui existe.
VirtualDub et VLC offre des fonction de conversion plus ou moins complémentaires, mais les problèmes de compatibilité restent fréquents (vidéo illisible ou incomplète).
 
 
Ainsi naquit le messie
Voilà donc un petit nouveau (enfin pour moi), qui gère un paquet de formats, tant en entrée qu’en sortie, avec de multiples options tel le resize et le crop. Non anglophone s’abstenir, car, bien qu’il soit aussi en Français, mieux vaut connaitre les termes anglais pour l’exploiter au mieux.
Les conversions peuvent être enchainées, mais pas de rassemblement de fichiers en un seul, et la vitesse de conversion me semble honnête.
Son seul véritable défaut sont les messages d’erreur. En fait, il n’y en a qu’un !
Un seul message d’erreur générique pour vous dire que soit votre fichier a un problème, soit vos réglages sont ratés, soit votre format de sortie est mauvais. Et au vu de la bonne cinquantaine d’options paramétrables, on aurait apprécié quelque chose d’un peu plus précis.
 
 
Qu’importe !
Il fait déjà l’essentiel : proposer gratuitement bien plus que ce que d’autres n’offrent que contre monnaie sonnante et trébuchante.
Je l’ai déjà adopté !

RPG Maker XP – Mon avis à moi

Les "+" :
Ca tourne sur toutes les configs
Facile à prendre en main
Un must pour les fans des RPG nippons "old school"
Personnalisable à l’envie
Grosse communauté d’utilisateurs actifs sur le web
 
 
Les "-" :
Très (trop ?) old school
Y’a pas de 3D ! (m’en fiche moi, chui un puriste ^^)
Concurrence des MODS et autres éditeurs de carte (genre Neverwinter Nights ou Morrowind)
 
 
 
Fan de RPG devant l’éternel
J’ai jamais aimé les jeux de sport …
Oui, bon, mes reflexes de flamby avarié ne m’aident pas à y prendre du plaisir. Mais quand même …
Une fois tous les circuits découverts, je sombre vite dans l’ennui. Je crois que ce que j’aime, c’est la découverte. Chercher un passage secret, trouver un item rare, lire un dialogue que je n’avais jamais lu les 5 parties précédentes … Ce genre de trucs quoi !
Alors forcément, le RPG et ses deux familles représente le style de jeu que je vénère le plus.
Quelles deux familles ?
 
Le RPG dit ricain, avec une super liberté de mouvement mais des persos aussi charismatiques qu’une poêle à frire. Ici, on privilégie les actions et la surface de jeu. Un bon RPG ricain est un RPG où un voleur, un guerrier ou un mage peuvent finir le jeu chacun à sa manière. Le héros est ici un avatar qui n’a pas son mot à dire.
Référence : Morrowind
 
Le RPG dit nippon adopte la philosophie opposée. Tout sur les persos et le scénar, quitte à faire un jeu ultra linéaire, où quand c’est fini une fois, c’est fini pour de bon ! Le joueur est ici plus proche d’un simple spectateur, décidant des actions à faire comme s’il était devant la Star’Ac.
Référence : Grandia
 
J’aime bien ces deux types de jeux. Et ceux qui naviguent entre ces deux types aussi !
Référence : Star Ocean 2, Raphsody a Musical Adventure, NeverWinter Nights, etc.
 
 
Quel rapport entre RPGMaker et ta philosophie de rôliste à deux PO ?
Eh bien, RPGMaker appartient principalement à la catégorie du RPG nippon. C’est un outil de conception de jeux vidéos, en fait un éditeur de cartes pour RPG. Mais suffisament complet pour permettre pas mal de fantaisies, à condition de rester dans du RPG consoleux.
Il fonctionne ainsi :
1- On conçoit les paramètres globaux de notre RPG (les héros, les enemis, les compétences, les items)
2- On crée une carte à partir de cases d’images (les Tilesets pour ceux qui connaissent)
3- On rajoute les personnages qui se balladent sur la carte (en fait des évènements reliés à une animation)
4- On lance pour voir si ça rend bien en tant que joueur
 
Le principal intérêt est que vous avez déjà tous les éléments de base pour commencer un RPG. Vous pouvez ainsi vous concentrer sur le scénario en utilisant les animations et autres réglages pré-établis. Vous avez très vite une version jouable de votre histoire, certes un peu bancale (difficile de raconter une histoire sombre avec des persos en SD ^^). Libre à vous ensuite de modifier les différents éléments selon vos envies, sans avoir à tout modifier. Bien sûr, cela ne marche que pour les modifications mineures. Toutes modifications sur le scénario seront elles un peu plus problématiques …
 
 
Génial ! A moi le super jeu 3D de la mort qui va enterrer Final Fantasy !
Ben non pas vraimment …
Déjà parce que RPG Maker est un éditeur "old school". Comprenez qu’il ne crée que des jeux en 2D, genre ceux sur SNES ou GBA. Inutile donc de s’appuyer sur des débauches d’effets visuels pour épater la galerie. Les RPG que vous créerez seront des final fantasy … version Super Nintendo (16 bits donc !).
Ensuite parce que les derniers jeux en Full 3D requiert des années de développement, avec des dizaines de millions d’euros pour les financer. Et ce n’est pas pour le seul salaire du chef de projet ! ^^
Réaliser un jeu seul est déjà difficile. Mais s’essayer à la dernière 3D à la mode est suicidaire, autant humainement que financièrement (rien que l’ordi de développement coûte les yeux de la tête).
Le principal intérêt de RPG maker est qu’il tourne sur n’importe quelle configuration. Et pour peu que vous sachiez programmer correctement, vos jeux fonctionnement sans problème même sur un pentium première génération.
 
 
Encore un truc de geek, donc …
Oui et non, parce qu’il est plutôt bien pensé dans son fonctionnement.
Bien sûr, il faudra savoir maitriser un langage de programmation pour en tirer tous les avantages (ici le Ruby).
Mais, beaucoup de fonctions sont accessibles à la souris. Programmer le déroulement d’un évènement (un dialogue entre deux persos par exemple) devient très simple, et ne nécessite qu’un peu de logique.
Il faut savoir que RPGMaker est d’abord un jeu vidéo sorti sur PSOne et PC … mais en import uniquement ! ^^
Il a donc été conçu avant tout dans un but ludique. Sa relative pauvreté graphique est en fait un avantage, car il oblige le créateur à se concentrer sur l’essentiel : son Histoire !
 
 
Quel intérêt un jeu en 2D ? On n’est plus au XXeme siècle !
Mets toi à Final fantasy 6 sur SuperNes, ou à son portage PSonien.
Et tu verras que le graphisme n’est que très secondaire dans le plaisir de jeu !
En plus, il y a une commuanuté assez active autour de ce logiciel, qui fournit quantité de d’aide, de ressources ou d’avis. Même pas besoin de passer des semaines à concevoir des animations à la main. Il suffit de récupérer le travail des autres (en les citant dans tes crédits de fin bien sûr !).
 
C’est aussi un très bon entrainement pour ceux qui se destinent à l’informatique logiciel.
Si vous voulez savoir si programmer à longueur de journée vous plaira, voilà le soft qu’il vous faut !
 
 
Alors ? Bien ou pas bien ?
Bien !
Pour peu que l’on reste modeste, on arrive sans peine à donner vie à cette aventure qui nous trotte dans la tête depuis tant d’années. Bien conçu, léger et assez fourni, je ne vois aucune raison de le bouder.
En plus, une version française existe !

Video Deluxe 2005 – Mon avis à moi

Les + :
50 euros pour un logiciel complet contre 100 Euros pour la concurrence
Beaucoup de fonctions dont pas mal à découvrir tout seul
Permet le traitement complet de toute la chaine de montage
Mise à jour en ligne du produit
 
Les – :
Documentation trop légère
Trop de fonctions cachées.
Authoring de DVD un peu trop limité dans les menus
Bugs par ci par là
Site Internet trop léger en add-on et plugins
 
 
Matériel de test :
Portable ACER 1670
Pentium 4 3.0 Ghz
768 Mo DDR
ATI 9700 Mobility
Codecs XviD et Divx 5
 
 
VIDEO Deluxe 2005 : pour les radins qui en ont marre de WMM
VD2005 est à mes yeux un très bon logiciel de montage. Excellente alternative à Windows Movie Maker, car plus complet, et à Adobe Premiere, car bien moins cher (1000 Euros !). Il propose quantité d’outils, comme le nettoyage vidéo et audio, très pratique pour retaper des videos prises avec des appareils bas et moyen de gamme. Il offre aussi de nombreux filtres, mais la plupart sont gadgets et seule une poignée est réellement utilisable (enfin, à mon avis). Effets audios et vidéos ne manquent pas, mais pêchent la aussi par leur manque de finition, les rendant plus moches qu’autre chose.
 
 
Puissance basique
La vraie puissance du logiciel s’exprime  paradoxalement dans les outils de base. Ainsi, on peut assez facilement obtenir des effets complexes en combinant des effets simples. Les 16 pistes de mixage permettent toutes les fantaisies, et la timeline est suffisamment adaptable pour réussir des montages audacieux. A ce titre, la possibilité de choisir la couleur de transparence, la vitesse de lecture, et les déformations apportée à l’image ouvrent des possibilités énormes pour qui est assez patient pour les maitriser. Le simple fait de pouvoir redimensionner l’image m’a débarrassé des soustitres trop visibles de mes amv.
Enfin, les possibilités d’authoring de DVD (création de menu) sont assez simples d’accès. Trop même, car elles limitent le choix des menus à la liste imposée par VD2005 (impossibles de créer les siennes). Heureusement, ils sont modifiables, mais quelle galère de remodifier à chaque fois le même menu de base …
 
 
Des bugs et des hommes
Le seul vrai point faible du logiciel sont ses bugs. Des fuites mémoires arrivent fréquemment, surtout dans la manipulation d’un grand nombre d’images, obligeant au redémarrage du programme. La haute résolution des titres est mal supportée (message d’avertissement intempestif sans conséquence sur le résultat). Enfin, les menus DVD que vous aurez amoureusement confectionnés, risquent de retrouver leur présentations par défaut une fois la sauvegarde chargée.
 
 
Bonne machine demandée
Une relative lenteur est aussi à souligner, tant dans le fonctionnement que dans l’encodage. Même si dans ce cas précis, mon matos est plus à accuser qu’entre chose. Le portable n’est pas conseillé pour l’édition vidéo, notamment à cause de son disque toujours plus lent que les modèles fixes (5200 tours/min au mieux contre 10 000 tours/min).